vendredi 25 février 2011

Le bateau d'Yves

Visite virtuelle de la vedette de croisière côtière
«PINPOYE 2»  d’Yves et Catherine

Quelques chiffres pour les caractéristiques du bateau, PINPOYE 2

- Longueur de la coque : 7,50 m  (+ 0,50m de plate forme de sortie de bain)
- Largeur hors tout au maitre bau : 2,94 m
- Masse : (lège) 3,2 tonnes
- Jauge : 8,18 tonneaux (Le tonneau de jauge est une unité de volume spécifiquement
- maritime).
- Motorisation: (In-board) YANMAR 170 ch. Turbo Diesel intercooler de 3, 5 litres de cylindrée.
- 4 Cylindres en ligne.  + Propulseur d’étrave électrique pour les manœuvres portuaires.
- Vitesse de croisière : 15 nœuds (Soit 27 km/h). Vitesse de pointe  20 nœuds.  (Soit 37 km/h)
- Capacité carburant : 225 litres (7 à10 heures  de croisière selon vitesse)
- Capacité eau douce 100 litres
- Capacité pinard : QSP. Variable selon durée de croisière. Apéro et bière idem.






















LEXIQUE MARITIME


Bâbord : c’est le bord (côté) gauche du navire, en regardant vers l’avant.

Tribord : c’est le bord droit, l’inverse de bâbord.
Ces 2 mots  sont d’origine néerlandaise. (Bâbord vient de bakboord qui littéralement signifie,  «bord du dos». Tribord vient de stuurboord / stierboord – à vos souhaits - qui signifie ; «le bord du gouvernail»).
Ces désignations viennent de la position physique qu’avait traditionnellement le barreur (ou timonier) à son poste, car à l’origine le gouvernail était sur la droite du navire. Ils ont été introduits dans la langue française, il y plusieurs siècles, vraisemblablement  par les charpentiers de marine hollandais venus en France nous apprendre à fabriquer de bon et gros vaisseaux de guerre et de commerce. Ces deux mots auraient pu être remplacés par gauche et droite, mais ils ont un avantage c’est d’ôter tout doute lors des manœuvres. Du temps de la marine en bois et à voiles, les marins étaient rustres, ils ne savaient ni lire ni écrire, la gauche et la droite souvent confondues, de sorte que ces expressions se sont imposées et perdures de notre temps.  Les matelots étaient nombreux pour manœuvrer ces  navires, chacun avait sa fonction et son côté.  Les bâbordais veillaient,  œuvraient sur bâbord et les tribordais…sur tribord.  
A notre époque moderne, ces mots bien spécialisés ont l’avantage d’éviter les erreurs de manœuvre, que le navire soit en marche avant ou arrière. Exemple : le navire à moteur bat en arrière. Si je dis « virer à droite !» cela peut être interprété de 2 façons, la droite par rapport à l’avant du  navire ou la droite dans le sens de l’évolution en marche arrière, le barreur regardant dans ce sens là, il risque de réagir par rapport à sa main droite. Ordre  de virer sur tribord pas de doute possible.  Soyez rassurés, la suite sera plus simple.

La proue : C’est la partie avant du bateau.

La poupe : C’est l’arrière du rafiot. Ne pas confondre avec la soupe…de poulpe.

Les bouts : prononcer «BOUTE».  Ce sont les différents cordages qui servent à l’amarrage (aussières, bosses, etc.)  et autres fonctions. Pour la voilure il y a plein de noms spécialisés, drisses, écoutes, etc. Le mot ficelle est bannit du langage maritime pour désigner un cordage, sauf pour faire enrager le capitaine.

Un anneau : Lorsqu’un marin de plaisance dit fièrement «j’ai un anneau», cela ne veut pas dire qu’il est marié… Cela signifie qu’il a la chance d’avoir un emplacement où il amarre son bateau. En plaisance ce sont surtout des pontons, constitués de pannes et de catways. Mais ça peut aussi être un anneau de quai.  Les pontons modernes sont équipés soit «d’anneaux», de taquets ou de bittes (on dit aussi bollards en batellerie), il n’y a aucune grivoiserie à user du terme précédent.
Lorsqu’un bateau est immobilisé par une ancre on ne dit pas qu’il est amarré, mais qu’il est au mouillage.

NŒUD : En général tout le monde pense aux nœuds de marin (ceux que l’on met en sac). Mais c’est aussi l’unité de vitesse dans le langage maritime. Un nœud = Un mille nautique à l’heure  (1Mille nautique =1852 m).
 
Encore un mot à connaître : pavillon.   Non ce n’est pas le coin où  loge l’équipage.
C’est un parallélépipède de tissu que l’on déploie sur un mat, un mâtereau etc.
C’est tout simplement un drapeau. Le pavillon peut être national (ici le français),
Il est obligatoire, en navigation entre autre.
De courtoisie, (celui du pays que l’on visite) ce n’est pas obligatoire, mais une marque de politesse. Ici le pavillon breton s’impose.
Le pavillon du propriétaire. C’est pour la frime. Mais ça aide pour reconnaître un bateau que l’on connaît, au port ou proche de la côte. Très utile pour retrouver le sien dans les ports surchargés les soirs ou le rhum  a remplacé la Badoit au bar du coin.  Le mien c’est un papillon noir sur fond jaune.
Il existe aussi toute une série de pavillons qui servent à la communication et à la signalisation. Les énumérer serait fastidieux. Juste pour info, «Le Code International des Signaux»  en comporte 36 (26 pour l’alphabet et 10 pour les chiffres). Les jours de fête, hissés tous ensemble dans la mâture, c’est le Grand Pavois.

Et voilà, la visite c'est terminé ...




mardi 22 février 2011

La gym de Josiane

J'ai toujours aimé la dépense physique, alors
s'inscrire à la gym m'est venu tout naturellement ...

L’association de Gymnastique Volontaire de Plaisir est affiliée à la FFEPGV, Fédération Française d'éducation Physique et de Gymnastique Volontaire, 1ère fédération sportive nationale non compétitive

Créée en 1980, l’association propose dans la salle de gymnastique du Palais des Sports Pierre de Coubertin près
de 40 séances hebdomadaires de Multi’Gym encadrées par une équipe d’animateurs diplômés de la FFEPGV.

L'objectif de la gymnastique volontaire : améliorer sa forme physique tout en se faisant plaisir et en découvrant de multiples activités. Une personne n'ayant jamais pratiqué de sport tout au long de sa vie ne doit pas s’imaginer qu’il est trop tard pour démarrer sur le tard une activité physique. De fait, la pratique régulière d’exercices corporels, même de manière modérée a des effets bénéfiques sur la santé.

Principaux accessoires utilisés :


Si le coeur vous en dit, n'hésitez plus ...




mardi 15 février 2011

Recette du fondant à l'orange de Marianne

Le fameux gâteau que Marianne nous avait confectionné

lors de notre sortie au Musée d'Art Moderne

Pour 6 personnes :
- 115 g de beurre
- 115 g de sucre en poudre
- 2 oeufs
- 115 g de farine
- 1 grosse orange
- 1 cuillère à café de levure chimique en poudre

Glaçage
- 1 grosse orange très juteuse
- 150 g de sucre glace

Préparation : 20 minutes
Cuisson : 30 minutes thermostat 6/7 - 200°C
(mon four est un four électrique que je mets à thermostat 5/6)

Travailler le beurre à l'aide d'une cuillère en bois dans une terrine chaude pour le rendre crémeux,
(je fais bouillir de l'eau que je verse dans un récipient pour que celui-ci prenne une température bien chaude pendant quelques secondes puis je vide et j'essuie mon récipient et je mets le beurre coupé en fine lamelle comme cela le beurre fond plus facilement),

Incorporer le sucre petit à petit en mélangeant avec la cuillère de bois, puis mettre les oeufs l'un après l'autre tout en continuant de bien travailler la pâte (je me sers du batteur électrique),

Ajouter la farine, le jus de l'orange, son zeste finement râpé (je râpe la peau de l'orange), puis la levure,
Mettre cette préparation dans un moule beurré et fariné et le mettre à cuire à four moyen (attention le gâteau cuit très vite) ... A SURVEILLER ... 

Découper quelques fines lanières de la peau d'orange pour décorer,
Aussitôt le gâteau cuit, arroser celui-ci tout de suite avec le glaçage
Préparer le glaçage. Faire dissoudre le sucre glace dans le jus de l'orange
(je mets 2 secondes sur le feu en remuant)
pour obtenir une crème coulante. 




Recette de l'Osso Bucco de Josiane

D'origine italienne par mon grand-père maternel,
je tiens beaucoup de recettes italiennes de ma mère


Pour cette recette il vous faudra :

- 4/6 rouelles épaisses de jarret de veau
- 1 ou 2 carottes coupées en rondelles
- du vin blanc
- Une boîte de chair de tomates (je prends en général parfumées au basilic)
- Concentré de tomates une petite boîte
- 1 zeste de citron non traité
- 2/3 gousses d'ail
- 5 filets d'anchois à l'huile
- Persil

Hachez dans un mini hachoir style Seb les anchois avec un peu d'huile, le zeste de citron, l'ail et le persil. Gardez de côté cette préparation,
Farinez légèrement vos rouelles de veau des deux côtés,
Faites les revenir dans de l'huile d'olive dans une cocotte minute,
Mouiller avec le vin blanc,
Ajouter vos carottes coupées en dés,
Rajouter de l'eau dans laquelle vous aurez délayé le concentré de tomates ainsi que la boîte de chair de tomates. Il faut que vos rouelles soient immergées,
Délayez la préparation anchois, citron, persil, ail,
Je ne rajoute pas de sel ou très peu car les anchois sont déjà salés
Poivrez, thym, laurier feuilles,
Mettre 30 minutes à la cocotte minute dès la mise en rotation de la soupape
Servir avec des pâtes, style penne rigate ou tagliatelles.

Les bonhommes en bois d'Alain

Notre second Alain des Copains du Tourime Parisien
Très grand connaisseur de Paris


La technique du bonhomme en bois :

Couper à dimension des piquets cylindriques de préférence pour créer les différents membres.

Biseauter les extrémités pour effectuer les assemblages.

Visser l’ensemble des membres. Le nez avec un petit morceau de bois et les yeux avec des vis.

Les cheveux avec un peu de paille et le chapeau selon ses goûts.

Voilà, le bonhomme est terminé.



L’histoire du petit bonhomme d’Alain
Il n’y a pas de légende ou d’histoire pour mes bonshommes en bois. C’est tout simplement lors d’une visite chez un ami, j’ai vu dans le jardin un personnage en bois qu’il avait acheté sur un marché. L’idée m’est venue de le prendre en photo et de reproduire d’autres bonshommes sous différentes formes. J’espère bientôt en refaire d’autres plus gros et avec d’autres positions.

vendredi 11 février 2011

La peinture d'Alain Janus

(il faut bien préciser le nom car nous avons deux Alain dans le groupe)
Auteur du blog des Copains du Tourisme Parisien


La poule - A. Janus
Meuble peint - Huile sur bois

L’invention de la peinture à l’huile est attribuée au peintre flamand Jan van Eyck (1390-1441), mais le procédé consistant à mélanger les pigments dans l’huile était déjà connu de Theophilus au XIIIe siècle.

Il semblerait que cette technique soit bien plus ancienne : en 2008, on découvre les plus vieilles peintures à l’huile connues à ce jour dans les grottes afghanes de Bamiyan. Elles sont datées du VIIe siècle.
En réalité, l'avènement de la peinture à l'huile en Occident a été progressif. Il n'y a pas eu de révolution technique au sens strict mais une longue évolution.

En effet les peintres du Moyen Âge utilisèrent beaucoup la tempera qu'ils recouvraient parfois d'une ultime couche huileuse en guise de protection. Au fil des générations, cette couche d'huile s'est progressivement chargée en pigment donnant ce que l'on peut qualifier de premier glacis.

On retrouve d'ailleurs dans les tableaux des frères Van Eyck, sous d'innombrables couches de glacis cette sous-couche a tempera. Les panneaux destinés à être peints étaient imprégnés de plusieurs couches de colle et d’enduit, lorsque le bois était imparfait, ce qui était souvent le cas dans les pays du sud (Italie, Espagne) ; ils étaient préalablement marouflés d’une fine toile afin de limiter les effets de dilatation ou de rétraction du bois.
Le passage de la tempera à l'huile voit aussi celui du bois de la toile. Le bois avait pour inconvénient de limiter les dimensions des tableaux, d'une part à cause de la grandeur maximale qui pouvaient être atteinte avec des planches, d'autre part par le poids des œuvres.
C’est à partir du XVe siècle que l’utilisation de la toile montée sur châssis fait son apparition. On en trouve les premières utilisations sur des volets d'orgue à Venise. Ce sont d'ailleurs les Vénitiens qui diffuseront cette pratique en Italie dans le courant du XVIe siècle et en Flandres via Rubens. La toile, généralement de lin, doit être recouverte d’une couche d’enduit qui permet à la peinture de s’accrocher. La peinture à l'huile qui produit un film souple, convient parfaitement à ce support souple, qu'il est alors possible de rouler pour son transport.

jeudi 10 février 2011

Le crochet de Marianne

Marianne est originaire de Madagascar.
Lors de notre balade dans le 13e arrondissement,
elle nous avait épatés car elle connaissait tous les
fruits et légumes de chez Tang.


Elle a commencé le crochet quand elle était jeune à Madagascar, puis elle s’est mise à habiller des poupées, à confectionner des chiens pour des amis.

Le mot crochet vient du français «croc» en référence à l’accessoire permettant de le réaliser.

La technique du crochet consiste à fabriquer avec un fil et un simple crochet une étoffe formée de boucles entrelacées.


L'origine du crochet est incertaine, on ignore si elle est plutôt chinoise (découverte par la route de la soie), péruvienne, tunisienne, égyptienne ou danoise, mais les premiers ouvrages connus remontent à la fin du Moyen Age.

Ce furent d'abord les religieuses qui, dans les couvents, l'enseignèrent aux jeunes filles de bonne famille, puis la technique se developpant, le crochet devient le passe temps favori des dames de la cour d'Italie, puis d'Espagne et de France. A la Renaissance puis à l'époque de Louis XIV,  la technique s'améliore de même que la qualité des ouvrages. La Révolution Française permet l'exportation de la technique dans tous les pays d'Europe (Irlande, Angleterre et Pays Nordiques notamment) grâce aux familles nobles qui s'exilent en emportant avec elles leur savoir-faire.

Au cours des siècles le crochet suit la mode et se transforme peu à peu, mais c'est dans l'Irlande du 19e siècle qu'il connait son apogée et devient une véritable industrie. En effet, après la grande famine de 1846, on raconte qu'une mère supérieure demanda à ses religieuses d'apprendre la technique aux femmes du peuple afin qu'elle puissent travailler tout en restant chez elles.

Le succès est énorme, les guipures d'Irlande fabriquées à Dublin ou à Belfast s'exportent dans le monde entier et tout particulièrement dans l'Angleterre victorienne. Ces dentelles servent à orner des vêtements ou de la lingerie mais aussi à fabriquer des petits objets décoratifs pour la maison.

L'industrie se développe également en France et remplace progressivement l'artisanat, d'abord en Franche Comté puis dans tout l'Est du pays.
La technique qui se transmettait autrefois de génération en génération fait désormais l'objet de livres où l'on peut apprendre la technique de base et trouver de nombreux modèles d'ouvrages.

Puis vers le milieu du siècle, le crochet cesse progressivement d'être une industrie. Il redevient un artisanat et surtout un passe temps pour nombre de femmes dans le monde entier. Il permet de réaliser des ouvrages variés, souvent raffinés et originaux dans le domaine de la décoration (napperon, dentelles..) ou de l'habillement.
Les oeuvres de Marianne
Les stylistes et les grands couturiers permirent son développement, et la réalisation de fabuleuses dentelles.
Outre les points de base tel le point de chainette, la maille serrée, la maille coulée, la bride, il existe de nombreux points plus complexes permettant une grande diversité des réalisations (point soufflé, de rose, de France….).

jeudi 3 février 2011


La Peinture de Solange 

Notre "touche à tout" des
Copains du Tourisme Parisien


1 - D'après Pisarro 
inspirée d'une toile de Camille Pissarro
(1830-1903), "Nature morte aux pommes et pichet", de 1872, Lequel est connu comme l'un des "pères de l'impressionnisme". Il a peint la vie rurale française, en particulier des paysages et des scènes représentant des paysans travaillant dans les champs, mais il est célèbre aussi pour ses scènes de Montmartre. A Paris, il eut entre autres pour élèves Cezanne, Gauguin ..
Quant à moi , J'ai essayé de mettre en valeur les fruits au premier plan avec les effets d'ombre.

2 - d'après Chardin  
inspirée d'une toile de Jean Siméon Chardin
(1699-1779) qui  est considéré comme l'un des plus grands peintres du XVIIIe siècle. Celui-ci  est surtout reconnu pour ses natures mortes, très variées comme  fleurs, pots, verres, fruits , mais aussi gibiers... etc..
Le plus difficile a été pour moi de distinguer la bouteille sombre sur un fond sombre en arrière plan !!



3 - d'après Monet 
inspirée de la merveilleuse toile de Claude Monet
(1840-1926 ) "La promenade, la femme à l'ombrelle" 1873, exposée au National gallery of art de Washington. Un cadrage en contre plongée avec le personnage de Camille, sa femme, qui se détache dans le ciel. Cette dernière est saisie au moment où elle prend conscience de la présence du peintre et se tourne vers lui. L'impression du mouvement est donné par le voile gris qui lui recouvre en partie le visage et par les plis de sa robe.Son fils jean , immobile, en arrière plan.

Beaucoup d'heures de travail pour moi, pour arriver à tenter de reproduire les effets de lumière de l'herbe haute, du ciel, de la robe et de son contour !!!!....

4 - d'après Renoir 
inspirée de d'un bouquet champêtre de Auguste Renoir,
(1841-1919) qui est l'un des plus célèbres peintres français. Membre à part entière du groupe impressionniste, il évolue dans les années 1880 vers un style plus réaliste. Peintre de nus, portraits, paysages, marines, natures mortes et scènes de genre ...

Toute la difficulté vient du fond, car après avoir parfaitement dessiné le sujet, j'ai été obligée de peindre simplement des repères comme le pot, les coquelicots , la marguerite puis j'ai barbouillé mon fond, pour ensuite tout refaire directement au pinceau...



5 - d'après Edouard Manet 
inspirée du vase des pivoines d'Edouard Manet (1832-1883) , peintre de compositions à personnages, figures, nus, portraits, paysages, paysages urbains animés, natures mortes. Il soutient le impressionnistes et a comme amis : Monet, Renoir ou Berthe Morisot qui deviendra sa belle-sœur. Il meurt de la gangrène à 51 ans et laisse plus de quatre cents toiles aujourd'hui visibles dans tous les musées du monde, particulièrement au  musée d’orsay à Paris.
Je me sens décidément beaucoup plus à l'aise dans les natures mortes ...




6 - d'après un peintre contemporain
Un paysage de Corse que j'ai un peu interprété







7 - les marguerites
Je t'aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout !
Qui de nous n'a pas un jour, effeuillé cette marguerite...
Voici pour ce printemps un  pot de ces fleurs rustiques qui s'épanouissent au soleil et embellissent nos champs et sont propices à la rêverie...




8 - 9 - 10 - 11 - 12 - D'après photo et peintures non connues à part la barque de Christian JEQUEL ...